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Un « bon théorème régulateur » pour les agents incarnés

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  • Haebom

Auteur

Nathaniel Vierge, Martin Biehl, Manuel Baltieri, Matteo Capucci

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Cet article aborde la difficulté de généraliser l'affirmation de Conant et Ashby selon laquelle « un bon régulateur doit être un modèle du système », en utilisant des exemples tirés du domaine de la vie artificielle. Pour surmonter les limites des théorèmes existants, nous proposons un nouveau concept de modèle qui interprète le comportement d'un agent comme des « croyances » et des « mises à jour » du point de vue d'un observateur. Cela fournit un « modèle » de l'environnement du système, démontrant son applicabilité à la fois aux contextes de la théorie du contrôle classique et à la régulation interne de l'état. Les contre-exemples apparents sont résolus en interprétant le modèle comme un cas simple. Le point essentiel est que le modèle n'est pas inhérent au système, mais plutôt imposé par un observateur externe.

Takeaways, Limitations_

Takeaways: En étendant le théorème de Conant et Ashby, nous offrons une nouvelle perspective pour expliquer les mécanismes de régulation de divers systèmes. Nous définissons le concept de modèle de manière plus complète en insistant sur le rôle de l'observateur. Nous présentons un nouveau cadre pour comprendre le comportement régulateur des systèmes de vie artificielle.
Limitations: La dépendance du modèle à l'interprétation des observateurs peut soulever des questions quant à son objectivité. Les critères d'évaluation de la simplicité du modèle peuvent être flous. Il ne présente pas de modèle universel applicable à tous les systèmes réglementaires.
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